“Une pensée en mouvement”, voilà ce que nous propose Michèle Petit dans son nouveau livre : Nous sommes des animaux poétiques. Pour survivre aux désastres contemporains qui nous entourent, il semble vital de “maintenir vivants les rêves”.
Si la place essentielle de l’art dans le soin psychique est bien connue des psychologues, elle l’est moins comme force de résistance face à la folie destructrice du monde. Les enfants (et les adultes) méritent mieux que la violence dans laquelle on voudrait les enfermer, et l’art leur permet “d’exister en dehors des limites”.
Michèle Petit nous offre un espace pour nous évader, et redonner sa place à l’art sous toutes ses formes. Une petite graine d’espoir, qu’il suffirait de cultiver…