En ce qui concerne les pédocriminels, il existe un brouillage entre les créations, les prouesses artistiques, les réalisations de certains et leur comportement en tant qu’humains.
Cela se pose d’une manière particulièrement aiguë en ce qui concerne les écrivains, les cinéastes etc, qui sont protégés par leur réel talent et une aura médiatique. Si nous sommes effectivement d’accord pour reconnaître ce talent, nous sommes aussi insistants pour qu’ils aillent l’exercer derrière les barreaux d’une prison.
Mais cela ne sera possible que si un seuil d’âge est inscrit dans la loi afin que tout adulte ayant des relations sexuelles avec un enfant sache d’une manière incontournable qu’il est hors-la-loi, que cela est un crime même si cet enfant ne se rebelle pas.
Aucun enfant n’est consentant à une relation sexuelle avec un adulte. Qu’il soit auteur ou réalisateur couronné de succès ou charcutier ayant reçu le prix du meilleur pâté en croûte, ils doivent tous pouvoir bénéficier de l’hébergement derrière les barreaux offert par la république afin de continuer à exercer leur sublime talent.
Le retour en arrière est impossible et nous ne pouvons plus condamner Gauguin, il est mort et, tant que la loi ne sera pas votée, tous les vivants pourront continuer à se cacher derrière le soi-disant consentement d’un enfant et ne seront pas condamnables non plus.
Cessons de les magnifier, car cela brouille gravement le message de la lutte contre la pédocriminalité.